Plan IPT
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Au début du plan IPT, comme il n'y avait pas beaucoup de logiciel pédagogique*, l'accent fut mis sur la programmation.
Il y a eu principalement deux langages très utilisés : le BASIC et le LOGO. Le LOGO avait des qualités pédagogiques et il était utilisé par les élèves dans des activités diverses surtout à l'école.
Ces langages étaient fournis sous forme de cartouche MEMO7 ou MEMO5.
D'autres cartouches furent disponibles pour les langages suivants :
Au début du plan IPT, comme il n'y avait pas beaucoup de logiciel pédagogique*, l'accent fut mis sur la programmation.
Il y a eu principalement deux langages très utilisés : le BASIC et le LOGO. Le LOGO avait des qualités pédagogiques et il était utilisé par les élèves dans des activités diverses surtout à l'école.
Ces langages étaient fournis sous forme de cartouche MEMO7 ou MEMO5.
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D'autres cartouches furent disponibles pour les langages suivants :
- LSE
- FORTH
- ASSEMBLEUR
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LSE
LSE, acronyme du nom officiel Langage Symbolique d'Enseignement, est un langage de programmation, pour ordinateurs, conçu au début des années 1970 par une équipe de l'École Supérieure d'Électricité (Supélec).
LSE doit sa diffusion à son implémentation décidée en 1972 par le Ministère de l'Éducation Nationale français, dans un premier temps sur les mini-ordinateurs français CII Mitra 15 et Télémécanique T16006 retenus pour 58 établissements de l'enseignement secondaire (opération dite « Expérience des 58 lycées »). A partir de 1980, les micro-ordinateurs « compatibles IBM » du plan « 10 000 micro-ordinateurs » (succédant à l'opération des 58 lycées) furent équipés partiellement de ce langage français de programmation. Le LSE avait des avantages par rapport au BASIC de l'époque : dès sa version native de 1972, il supportait déjà les procédures sous-programmes et procédures fonctions (contrairement au BASIC), aussi bien procédures internes qu'externes. Mais les formations initiales du plan IPT se sont faites avec l'apprentissage du Basic Thomson (créé par Microsoft, un excellent Basic pourvu d'une très bonne notice et d'un bon nombre de fonctions graphiques, de la gestion des caractères redéfinissables et du crayon optique). Le langage BASIC s'était déjà bien implanté avant même que des formations au LSE ne soient proposées. Finalement, le langage LSE a sombré dans l'oubli à la suite de l'abandon de ce langage de programmation, sur décision du ministère de l'Éducation Nationale, dans les années 1990.
LSE, acronyme du nom officiel Langage Symbolique d'Enseignement, est un langage de programmation, pour ordinateurs, conçu au début des années 1970 par une équipe de l'École Supérieure d'Électricité (Supélec).
LSE doit sa diffusion à son implémentation décidée en 1972 par le Ministère de l'Éducation Nationale français, dans un premier temps sur les mini-ordinateurs français CII Mitra 15 et Télémécanique T16006 retenus pour 58 établissements de l'enseignement secondaire (opération dite « Expérience des 58 lycées »). A partir de 1980, les micro-ordinateurs « compatibles IBM » du plan « 10 000 micro-ordinateurs » (succédant à l'opération des 58 lycées) furent équipés partiellement de ce langage français de programmation. Le LSE avait des avantages par rapport au BASIC de l'époque : dès sa version native de 1972, il supportait déjà les procédures sous-programmes et procédures fonctions (contrairement au BASIC), aussi bien procédures internes qu'externes. Mais les formations initiales du plan IPT se sont faites avec l'apprentissage du Basic Thomson (créé par Microsoft, un excellent Basic pourvu d'une très bonne notice et d'un bon nombre de fonctions graphiques, de la gestion des caractères redéfinissables et du crayon optique). Le langage BASIC s'était déjà bien implanté avant même que des formations au LSE ne soient proposées. Finalement, le langage LSE a sombré dans l'oubli à la suite de l'abandon de ce langage de programmation, sur décision du ministère de l'Éducation Nationale, dans les années 1990.
* Les logiciels pédagogiques qui existaient était issus de logiciels écrits par des enseignants formés depuis le plan des 58 lycées. Ces logiciels écrits pour la plupart en LSE et sur des machines plus anciennes ont dû être traduits et adaptés aux ordinateurs Thomson. Certains ont aussi été adaptés pour le collège. Les éditeurs privés ont aussi participé à cet effort pour présenter des logiciels éducatifs surtout pour l'école et le collège. D'autres éditeurs sont nés portés par la vague des demandes.