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Plan IPT

Avant (1960 à 1984)

Micros grand public 
 
Introduction
Avant (1960 à 1984)
  Expérience des 58 lycées
  Mise en sommeil
  Plan des 10 000 micros
  Micros grand public
  Plan 100 000 micros
Mise en œuvre du plan
  Lancement
  Documents
  Equipements
  Aide à la formation
Postes isolés
  Dotation des écoles
  Le Pico-réseau
Interfaces et extensions
  Contrôleurs Thomson
  Extensions Thomson
  Megabus
Périphériques
  Moniteur
  Lecteur/Enregistreur
  Imprimantes
  Lecteurs de disquette
  Crayon optique, manettes
Le Nanoréseau
  Vue d'ensemble
  Le MO5 NR
  La connectique
  La tête de réseau
  Système DISCO
La tortue Jeulin
  Présentation
  Le matériel
  Les cartes
Les logiciels
  Les langages
  La valise IPT
  Politique d'édition
Interfaçage
  Vue d'ensemble
  Systèmes automatisés
  ExAO
  Machine à C.N.
Mémoire optique
  Le Vidéodisque
  Videodisque I
La télématique
  Introduction
  Usages scolaires
Les publications
  académiques
  nationales
Transition
  Introduction
  Solution Profil
  Solution NANO-PC
  Carte Théodos
Emulateurs
  Machines Thomson
  Nanoréseau
L'après IPT
  13000 micros
  Opération CD-ROM
  CD Interactif
  Salle informatique
  Internet
  Savoirs Collège
  Logiciels RIP
  Le Café pédagogique
  Le B2i
Les manifestations
  Cliquez pour le savoir
  Educatec-Educatice
  Des souris et des profs
  20 ans après IPT
  Intertice
 
Opération dans seize départements
Annoncé par le Président de la République en janvier 1983, le plan d'équipement en micro-ordinateurs (6 000 TO7 « grand public » livrés en 1983 et 1984) concerne les écoles, les collèges et les L.E.P. de 16 départements (Alpes de Haute Provence, Hautes-Alpes, Ardennes, Ariège, Drôme, Isère, Landes, Loire-Atlantique, Moselle, Nièvre, Nord, Oise, Pas-de-Calais, Puy-de-Dôme, Seine-Saint-Denis, Haute-Vienne). Il complique singulièrement le dispositif.

Le financement est partagé entre l'Éducation nationale et les Conseils généraux qui décident de la réalisation et de la répartition des équipements. L'administration des lycées et collèges faisant peu de place à l'échelon départemental, la direction des Écoles, avec les inspecteurs départementaux, se manifeste plus efficacement : c'est elle qui organise, chaque année, les quatre regroupements d'une semaine des représentants des « départements TO7 ». Dans chaque département, le chef de projet informatique est soit l'Inspecteur d'Académie lui-même, soit un directeur d'École normale, soit le directeur du Centre départemental de documentation pédagogique (C.D.D.P.) ... Tout cela peut expliquer la diversité dans les conditions d'implantation des TO7, la dispersion des formations, le plus souvent insuffisantes du fait de la forte demande des enseignants et de la faiblesse des moyens en personnel ; les formations s'effectuent de plus en plus hors du temps de service, pendant les congés. Mais surtout le TO7 et les autres machines de l'Éducation nationale sont incompatibles ; le TO7 ne fonctionne qu'avec un basic et des logiciels d'un éditeur vendus à la pièce et « protégés ». C'est la fin de la gratuité jusque-là assurée aux activités informatiques dans le service public. L'utilisation des logiciels de la bibliothèque du C.N.D.P. est impossible. Tant bien que mal, une production de logiciels est mise en place, notamment par l'antenne de la direction des collèges. Les commandes publiques de L.S.E. et de Logo pour TO7 n'ont pas encore abouti (à la fin de février 1985) ; seules des entreprises privées assurent ces fournitures. De toute façon l'intégration de ces petites machines dans le parc Éducation nationale suppose leur connexion avec les machines les plus grosses en un réseau local (nanoréseau).

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